Faut-il Une Page Blanche Après La Page De Garde

Ah, la fameuse page blanche après la page de garde. Un sujet de débat passionné, presque aussi enflammé que "Pain au chocolat" versus "Chocolatine" ! On se croirait presque en pleine dissertation philosophique. Alors, faut-il oui ou non sacrifier une page immaculée à ce silence contemplatif ? Accrochez-vous, on plonge dans le vif du sujet avec un zeste d'humour et une pincée de sarcasme.
Le dilemme existentiel de la page blanche
Soyons honnêtes, cette page, elle est un peu comme le célibataire endurci de la famille. Tout le monde se demande à quoi elle sert, et certains suggèrent même de lui trouver une utilité (genre, la marier à la page de garde ?). Mais elle, elle est là, stoïque, blanche, et... c'est tout.
Les arguments POUR, ou "L'appel du vide... ou du vide papier"
- La pause dramatique : Imaginez ! Vous tournez la page de garde, et... le vide. Un silence assourdissant. Un instant de recueillement avant de plonger dans le tumulte du contenu. C'est presque théâtral ! (Si votre vie a besoin d'autant de drama, peut-être devriez-vous envisager une carrière à Hollywood).
- La symétrie (apparente) : Pour les maniaques de l'ordre et les obsédés textuels, ça apporte une certaine harmonie. Une page à droite, une page à gauche, tout est bien qui finit bien ! Mais avouons-le, c'est un peu comme ranger ses chaussettes par couleur : ça sert surtout à se sentir en contrôle.
- "Parce que tout le monde le fait !" : L'argument massue. Mais est-ce une raison valable ? "Maman, tout le monde se jette du pont !" ... Oui, bon, vous voyez le genre.
Les arguments CONTRE, ou "Halte au gaspillage de papier !"
- L'écologie, ma bonne dame ! : À l'heure où on nous bassine avec le réchauffement climatique et la fonte des glaces, sacrifier une page entière, c'est un peu comme brûler des billets de banque pour allumer un feu de cheminée. Sauf que là, c'est des arbres qui partent en fumée (métaphoriquement, bien sûr).
- L'optimisation (forcenée) : Imaginez tout ce qu'on pourrait mettre à la place ! Une blague, un dessin, une citation inspirante... ou même le début du premier chapitre ! Cette page blanche, c'est du potentiel gâché. C'est comme avoir une Ferrari et ne l'utiliser que pour aller chercher le pain.
- Le pragmatisme absolu : "À quoi ça sert, concrètement ?" Si cette question vous taraude, la réponse est simple : à rien. Nada. Zéro. Autant utiliser cette page pour faire des origamis.
Alors, verdict ? Doit-on se déchirer sur la page blanche ?
La réponse, comme souvent, est : ça dépend ! Tout dépend du contexte, du type de document, et de votre niveau de névrose obsessionnelle. Sérieusement. Si vous écrivez une thèse, une page blanche peut apporter une touche de professionnalisme. Si vous écrivez une liste de courses, c'est juste du gaspillage pur et simple.
Finalement, le plus important, c'est de ne pas se prendre trop au sérieux. Après tout, ce n'est qu'une page ! On ne va pas en faire un fromage (quoique, une page blanche pour étaler son brie, ça pourrait être... original).
En résumé, la page blanche après la page de garde, c'est un peu comme les chaussettes dépareillées : c'est pas grave si ça arrive, tant que vous assumez votre choix avec panache ! Et si vraiment ça vous angoisse, vous pouvez toujours la colorier en rose fluo. Ça surprendra au moins le lecteur.

















