Copybook Page De Garde Cahier D Anglais Collège

Okay, on va parler d'un truc hyper précis. Tu te souviens du collège? Genre, vraiment loin dans tes souvenirs?
On va parler... de la page de garde du cahier d'anglais. Oui, oui, celle-là. La *fameuse*.
Tu vois le truc? Un Copybook Page de Garde Cahier D'Anglais Collège. C'est long, hein?
Pourquoi c'est fun?
Parce que c'est un rite de passage! Tout le monde l'a fait. C'est un peu comme les tamagotchis ou les Spice Girls, mais en version scolaire.
Et puis, avouons-le, c'était souvent n'importe quoi. Du grand art, du pur génie... ou un gribouillis informe que t'essayais de faire passer pour un chef-d'œuvre.
Les bases : Le Copybook
D'abord, "Copybook". Ça sonne hyper sérieux, non? Genre, tu vas recopier Shakespeare. En réalité, c'était surtout pour recopier des règles de grammaire ennuyeuses.
Mais l'idée, c'était de se dire qu'on allait tenir un cahier parfait. Un cahier digne de la Reine d'Angleterre. Spoiler : ça n'arrivait jamais.
C'était toujours impeccable au début, et puis, après deux semaines, une catastrophe. Taches de feutre, coins cornés, feuilles volantes... Welcome to reality!
Page de Garde: La Liberté!
La page de garde, c'était notre *seul* moment de liberté. Le seul endroit où on pouvait exprimer notre créativité (ou notre manque de talent artistique flagrant) sans se faire engueuler par Madame Michu.
On y mettait quoi, au juste? Nos noms, bien sûr. Souvent écrit en 3D avec des ombres bizarres. Des dessins de drapeaux anglais (plus ou moins réussis). Des citations de films qu'on ne comprenait pas vraiment.
Et les dessins! Des drapeaux de l'Union Jack, des Bus londonien, Big Ben déformé... Souvent, ça ressemblait plus à un cauchemar qu'à une carte postale.
Y'avait toujours le mec ou la meuf qui se prenait pour Banksy et qui essayait de faire un truc engagé. Résultat: un vague graffiti incompréhensible.
Cahier D'Anglais : Plus qu'un Objet
Le "Cahier D'Anglais". Plus qu'un simple cahier, c'était un témoin de notre adolescence. Il gardait précieusement nos secrets, nos ratures, nos espoirs de maîtriser le "present perfect continuous".
Il survivait aux chewing-gums collés, aux batailles de boules de papier, aux crises d'ennui pendant les cours de géo. Un vrai héros.
Et puis, au final, on le jetait à la fin de l'année. Snif. Mais on gardait quand même un petit pincement au cœur.
Et maintenant?
Alors, la prochaine fois que tu te sens nostalgique, pense à ta page de garde. Pense à tes tentatives ratées de dessiner un Shakespeare qui ressemble à autre chose qu'un hamster énervé. Pense à tout le temps passé à essayer d'écrire ton nom avec la police la plus cool du monde.
Parce que, au fond, c'était ça le collège. Un mélange de devoirs barbants et de moments de liberté créative... sur une simple page de garde.
Et c'était parfait, même si c'était moche.

















