Living No Matsunaga-san Scan Vf 17
D'accord, d'accord, je sais. Je vais me faire des ennemis. Mais il faut que je le dise. Vivre chez Matsunaga-san, scan Vf 17… On en parle ?
Je sais, la série est adorable. Tout le monde l'aime. C'est du shōjo plein de bons sentiments, avec des dessins magnifiques et une ambiance chaleureuse. J'acquiesce. Mais… ce scan, celui-là en particulier…
Le Scandale du Scan 17
On est d'accord, les scans, c'est bien pratique. Ça permet de découvrir des œuvres qu'on n'aurait peut-être jamais lues autrement. Surtout quand on galère à trouver la version papier en français. Mais parfois, je me demande si les traducteurs… enfin, on va dire qu'ils ont un peu forcé sur le saké, non ?
Dans ce fameux scan 17, il y a une scène. Une scène clé, apparemment. Une scène où Miki fait une découverte importante sur ses sentiments. Mais la traduction… mon Dieu, la traduction ! On dirait du Google Traduction qui aurait fait une overdose de sirop d'érable.
Des Dialogues Étranges… Très Étranges
Les dialogues. Parlons-en. "Mon cœur fait boum-boum pour Matsunaga-san" ? Sérieusement ? C'est le niveau de langage d'un enfant de cinq ans qui essaie d'expliquer la physique quantique. On dirait une pub pour des céréales !
Et puis, il y a cette phrase, cette phrase qui restera gravée dans ma mémoire à tout jamais : "Je sens des papillons dans mon estomac, et ils font du hip-hop". Du hip-hop ! Des papillons qui font du hip-hop ! Je crois que j'ai fait une syncope quand j'ai lu ça.
Est-ce que Miki est soudainement devenue une rappeuse talentueuse ? Est-ce que Matsunaga-san a secrètement ouvert une école de danse pour insectes ? Le mystère reste entier.
"Je crois qu'après ça, j'ai remis en question toute ma vision du monde."
Voilà, c'est dit. Je sais que certains vont me jeter des pierres. Mais je ne pouvais plus garder ça pour moi. Le scan Vf 17 de Vivre chez Matsunaga-san est une aberration linguistique. Un crime contre la littérature. Un… un truc bizarre, quoi.
Bien sûr, je comprends l'intention. Rendre les choses plus accessibles. Simplifier. Mais là, on est allé trop loin. On a transformé une œuvre sensible et délicate en une parodie involontaire.
Et ne parlons même pas des onomatopées. "Doki-doki" transformé en "Blam-blam" ? C'est le bruit d'un flingue, pas celui d'un cœur qui bat la chamade !
Est-ce que je suis la seule ?
Honnêtement, est-ce que je suis la seule à penser ça ? Est-ce que je suis la seule à avoir éclaté de rire (nerveusement) en lisant ce scan ? Dites-moi que non ! Dites-moi que je ne suis pas seule dans cette galère linguistique !
Peut-être que je suis trop pointilleuse. Peut-être que je devrais juste apprécier l'histoire et fermer les yeux sur les approximations. Peut-être… mais non. Je ne peux pas. Les papillons hip-hoppeurs me hantent encore la nuit.
Alors oui, j'aime Vivre chez Matsunaga-san. J'aime les personnages, l'ambiance, les dessins. Mais je déteste, je hais, je vomis sur ce scan Vf 17. C'est une tache indélébile sur une œuvre qui méritait mieux.
Et si un jour je croise le traducteur de ce scan, je lui offrirai une bonne tasse de café… et un dictionnaire bilingue.
Un Plaidoyer pour des Traductions de Qualité
Alors oui, c'est peut-être un coup de gueule futile. Mais j'espère que ça fera réfléchir. J'espère que ça encouragera les traducteurs (amateurs ou professionnels) à faire attention à la qualité de leur travail. Parce que les mots ont un sens. Et les papillons hip-hoppeurs, ça n'a aucun sens.
Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, je vais aller me faire hypnotiser pour oublier cette scène. Et peut-être relire Vivre chez Matsunaga-san, mais en japonais, cette fois. Au moins, je ne serai pas traumatisée par des papillons danseurs.
Et vous, quel est votre scan de manga préféré… à *éviter* à tout prix ?
