English Copybook Page De Garde

Salut l'ami(e) ! Tu te souviens des cahiers de textes, ceux avec la page de garde qu'on devait absolument customiser ? Eh bien, on va parler de ça, mais en mode anglais ! On va plonger dans l'univers de la "English Copybook Page De Garde". Prononce ça vite, c'est un challenge ! (Et si tu réussis, félicitations, tu gagnes… mon admiration éternelle !).
Alors, qu'est-ce que c'est exactement ? C'est tout simplement la page de garde de ton cahier d'anglais. Oui, la page sur laquelle tu écrivais ton nom, ta classe, le nom du prof (en espérant qu'il s'en souvienne, même si on mettait le nom en GROS et en couleur fluo !), et le titre "English" en lettres gothiques que tu pensais être super cool à l'époque. Ah, la nostalgie… presque autant que de se rappeler les pubs Ringos !
Pourquoi cette page était-elle si importante ?
Sérieusement, pourquoi on y passait autant de temps ? C'était un peu notre carte de visite pour l'anglais. C'était l'occasion de montrer notre talent artistique (ou notre tentative d'en montrer un). C'était aussi un moyen d'affirmer notre identité. Genre, "Oui, je suis en 5ème B, et oui, je suis capable de dessiner une Angleterre avec Big Ben qui crache du feu !" Bon, peut-être pas du feu, mais au moins de la fumée grise, c'était déjà pas mal.
Les thèmes incontournables de la "Page De Garde" anglaise :
- Le drapeau britannique : Incontournable ! On pouvait le dessiner à main levée (et il ressemblait souvent plus à un patchwork qu'à l'Union Jack), ou on utilisait un pochoir (si on était un peu tricheur, mais chut !).
- Big Ben : Toujours majestueuse, même quand on la dessinait de travers. C'était un peu notre Tour Eiffel anglaise.
- Shakespeare : Bon, là, souvent, on se contentait d'écrire son nom en belles lettres. Parce que, soyons honnêtes, dessiner Shakespeare, c'était risqué. On aurait plus dit un cousin éloigné de Gandalf !
- Des citations : "To be or not to be", "All you need is love"… Les classiques ! Et si on était vraiment audacieux, on essayait d'en inventer une. Avec plus ou moins de succès, soyons honnêtes.
- Des caricatures de prof : Ah, ça, c'était plus risqué. Mais tellement tentant ! Il fallait juste s'assurer qu'il ne tombe jamais sur notre chef-d'œuvre, sinon, adieu la bonne note ! (Disclaimer: je ne cautionne pas ce genre de pratique. Sauf si le prof était vraiment… spécial. Non, je rigole !).
L'importance, c'était de mettre sa touche personnelle. Même si, au final, toutes les pages de garde se ressemblaient un peu : un drapeau, une horloge, et une vague tentative de citation philosophique.
Et puis, il y avait ceux qui laissaient leur page de garde vierge. Ceux-là, c'étaient les vrais rebelles. Ou alors, ils étaient juste très occupés (ou pas très inspirés). On ne saura jamais vraiment.
Plus qu'une simple page de garde :
La "English Copybook Page De Garde", c'était bien plus qu'un simple bout de papier. C'était le symbole de notre engagement (plus ou moins sincère) avec la langue anglaise. C'était notre première approche créative avec cette culture fascinante. C'était aussi un prétexte pour procrastiner au lieu d'apprendre nos verbes irréguliers. Mais ça, on ne le dira pas trop fort.
Alors, la prochaine fois que tu croiseras un vieux cahier d'anglais, prends le temps d'admirer la page de garde. Souviens-toi des heures passées à la décorer, des rires, des frustrations, et de cette étrange sensation d'accomplissement quand tu avais enfin terminé ton chef-d'œuvre. C'était peut-être un peu kitsch, un peu naïf, mais c'était surtout une belle tranche de notre jeunesse.
Et si jamais tu as encore un cahier vierge qui traîne, pourquoi ne pas te lancer dans une "English Copybook Page De Garde" version adulte ? Avec des références plus pointues, des couleurs plus sophistiquées, et peut-être même un peu d'humour auto-dépréciateur. Qui sait, ça pourrait te donner envie de te remettre à l'anglais… ou au moins de ressortir tes vieux feutres ! Allez, au boulot, Picasso ! (Anglais, cette fois).

















